Victom Black
Rang 12
Messages : 174
Date d'inscription : 07/08/2011
Localisation : Dans mes quartiers.
 |  Sujet: Victom Black ; maître incontesté Lun 8 Aoû - 19:32 | |
| Carte d'identité
 | | Nom : Cross.
Prénom : Victor.
Pseudonyme : Victom Black.
Âge : 38 ans.
Sexe : Homme.
Groupe : Red Victom Justice Agency.
Rang : Patron.♥ |
Portrait Robot & Psychologie Description PhysiqueJe suis la beauté même.♥ Plus sérieusement, avez-vous déjà vu un physique si magnifique ? Hum... D'accord, je n'approfondirai pas sur mon "narcissisme" comme vous dites, bande d'incultes. Mais précisons plutôt tout simplement mes amis : je suis un homme d'âge mur comme dit plus haut, la trentaine, un mètre quatre-vingt-onze pour un poids tout à fait moyen - que je ne divulguerai pas♥ - respectant l'addition de ma minceur par ma taille en ajoutant le poids d'une musculature certaine. Un esprit sain dans un corps sain, ce n'est pas parce que je suis le chef de l'agence que je dois me laisser aller, alors je favorise les sortie à la plage en été et les entraînements réguliers au troisième étage de l'entreprise lorsque j'ai du temps à moi, question de garder une certaine musculature et une peau d'une couleur légèrement tanée et toujours satinée par les soins que j'y apporte.
En effet, il est hors de question que je laisse de côté le moindre détail de mon corps : j'apporte beaucoup d'importance à mon apparence, aussi je compte préserver une beauté irréprochable. J'apporte toujours beaucoup de soin à ma peau pour qu'elle reste assortie et pourtant qu'elle crée un certain contraste remarquable avec la brillance de mes yeux bleu de minuit, fins et toujours éclairés d'une lueur de charme. La courbe de mon regard s'accorde toujours parfaitement avec la forme fine et les traits précis de mon visage, un nez d'apparence un peu bourbonien qui prend malgré tout quelques traits harmonieux du nez grec, des lèvres fines mais gracieuses et un menton bien que gardant mes traits masculins présentant une finesse digne de la grâce féminine ; en définitive, j'ai l'originalité d'une quasi-perfection, je suis exceptionnel...
Mais reprenons plutôt, je ne voudrais pas vous ennuyer en vous faisant vous rendre compte à quel point nous sommes différents, vous gens normaux et moi création parfaite... Je ne me limite pas à mon corps en effet : je porte énormément d'attention à mes cheveux de jais. De longs cheveux, depuis que je suis Victom Black j'ai refusé que quelqu'un d'autre que moi-même y touche, aussi j'ai fini par m'habituer aux cheveux longs. Je n'ai pas vraiment le temps de me couper les cheveux, alors en effet mes mèches sont quelques peu irrégulières, mais je porte toujours beaucoup d'attention à garder les pointes propres, les cheveux légers et soyeux. Hors de question de laisser le gras et la saleté gagner sur ma beauté, s'il le faut je laisse tout mon travail en plan pour pouvoir faire attention à mon état et à mon apparence. Ce n'est pas pour rien que mes cheveux sombres sont si soignés et fluides, exceptionnels de leur magnifique couleur noire aux reflets légèrement bleutés, œuvre d'une ex-coiffeuse parmi les agents de mon entreprise qui a insisté pour m'offrir ce service si charmant et qui me rend toujours plus hors du commun.
De fait, je vous rappelle qu'en tant que patron de la RVJ Agency je me dois de faire bonne impression. Ainsi, je suis un homme avec beaucoup de charisme, il est rare que je puisse aller quelque part sans attirer l'attention. Que voulez-vous : ma beauté et ma célébrité y font beaucoup ! De toutes manières, en personne de la haute société j'apporte tout de même beaucoup d'attention à ma manière de me vêtir. Les costumes me font si bien, ce serait sacrilège que de ne pas permettre les yeux des éventuels spectateurs profiter de la beauté d'un tissu sombre sur un corps presque parfait. Je me dois d'être propre et respectable même dans ma manière de m'habiller, aussi ma garde-robe est exclusivement composée de costumes, costards-cravates et, pour les jours de détentes, chemises d'un blanc maculé mais toujours avec un pantalon noir d'un costume dont je n'ai jamais retrouvé le haut. Moi qui égare si peu de choses, où ai-je pu le mettre ? Peut-être est-ce quelqu'un que j'aurai invité qui me l'a emprunté - pour ne pas dire volé - qui sait ?
Enfin, tout ceci ne m'empêche pas d'apprécier lorsque je suis seul des vêtements plus décontractés, chemise ouverte les jours chauds et gilet plutôt vieux lorsqu'il fait frais, ou même manteau les jours de grand froid ; avoir le chauffage ne m'empêche pas de beaucoup craindre le froid, j'ai toujours besoin de mes soirées sous les couverture avec une jolie fille ou une jeune homme mignon les jours d'hiver ! J'apprécie également lors d'éventuelles sorties ou jours spéciaux les vêtements traditionnels, comme la sortie aux sources chaudes que j'avais eu un jour avec quelques agents d'origine asiatique qui m'avaient alors offert un kimono à cette occasion. Tenue que j'ai toujours dans mon placard, mais quand pourrais-je la réutiliser... ?Description mentaleHum... Vous souhaitez donc mieux me connaître ? Mesdames et messieurs sachez que je ne suis guère du genre à être difficile : j'attache beaucoup d'importance à la beauté et au physique mais je reste tout de même tout à fait capable de faire la part des choses entre mon devoir et mes désirs. A votre avis sinon, comment aurais-je pu parvenir à un si haut rang ? Je reste quelqu'un de tout à fait sérieux et mature, et quelqu'un de travailleur, même si je reste plutôt discret dans ma présence dans des lieux tels que l'agence. En cas de sortie, j'aime être centre de l'attention par ma seule présence. Mais si vous veniez dans mes quartiers, vous ne remarquerez qu'à peine que les lieux sont habités. Pourtant, on ne peut pas dire que je passe tant de temps que cela hors de mes quartiers, au contraire. Mais je ne laisse rien traîner, je déteste ça. Pourtant, je ne suis pas du genre à beaucoup travailler dans les devoirs ménagers. La poussière, il y en a toujours un peu sur les meubles, mais quand je n'ai vraiment plus rien à faire il peut m'arriver de la retirer. Pourtant, rien ne traîne, il n'y a aucune tache : je déteste la saleté, je veux être irréprochable.
C'est sans doutes de cet amour de la propreté et de la perfection qu'est né mon narcissisme. Le rapport ? Je passe plus de temps à m'occuper de mes affaires, de mon travail et de mon apparence que de mon entourage, si bien que les relations que je peux entretenir sont très irrégulières. J'en suis venu à tout faire pour laisser de côté ma femme et ma fille - Raymond en aurait-il été jaloux lorsqu'il a enquêté sur elles à cause de mon inquiétude pour ces dames ?♥ - et pour éviter de m'attacher aux autres. De ce fait, je me suis quelque peu renfermé. Oui, je suis très ouvert, si vous m'abordiez je n'aurais aucun mal à poursuivre la discussion, et la présence des autres a toujours une influence sur mon comportement : je n'aime pas que les gens soient oubliés, alors je vais de moi-même vers eux. Pourtant, au fond, je n'ai aucun lien. Étrange n'est-ce pas ? Il arrive à la fin d'un travail, lorsque je ferme le dossier et range les armes, que je sente un vide en moi. De ce manque d'affection certain et que je ne peux laisser de côté ou oublier est né un amour pour ma personne, seul personnage qui soit toujours présent pour moi. J'ai fini par devenir narcissique, mais comment ne pas l'être avec une telle beauté et une telle perfection ?♥
Je suis loin d'être modeste : je déteste qu'on oublie un don, une capacité. Quand quelqu'un est capable de quelque chose, il doit s'en vanter ! Allez, profitez de vos dons, avouez que vous avez tous un semblant de perfection ! Évidemment, je suis mieux que vous, mais... Enfin, de fait je reste tout de même habitué à avoir les chevilles enflées. Que voulez-vous, chacun a ses petits défauts. Même si les miens sont en effet très nombreux : si le travail vient à prendre le dessus sur mes désirs du moment, je peux me montrer très froid et très sec, sévère voire même parfois agressif et trop strict envers ceux qui voudraient se laisser aller. Le travail est une partie très importante de ma vie, il n'est pas question que je laisse un fainéant tout gâcher alors que j'ai mis tant de temps à devenir moi.
Pourtant, je vous promet mes ladies et mes lords que je suis tout à fait charmant dans d'autres conditions. Je suis d'une politesse à toute épreuve, et d'une galanterie quasi-parfaite. Je ne m'attache que très rarement à quelqu'un, quoi que j'étais bien pire avant. Depuis quelques temps, mon cœur a fini par céder à l'innocence et à l'originalité de certains des membres de mon entreprises. L'amusante Élindasia, le si particuliers Raymond avec sa camarade si omniprésente Akira, le charismatique Bryan pourtant inatteignable, la grande - oh oui très grande - Elisa ou même le si mignon Ivan... Je crois bien que finalement la RVJ Agency a eut l'effet escompté sur ma vie : elle a finit par devenir le substitut d'une famille. Est-ce mal de penser ainsi ? Pourtant, c'est le seul moyen que j'ai d'expliquer mon attention envers ces gens...
En effet, je suis très doux et attentif envers ces personnes, j'écoute toujours leurs problèmes. Ils passent avant tout pour moi, voilà tout... Je peux paraître parfois insupportables, particulièrement rabaissant et très gaffeur, trop sincère ou faisant trop de sous-entendus selon les jours, pourtant il y a toujours quelques uns d'entre eux pour me rattraper, faire de moi un autre moi. C'est pour cela que je les apprécie tant, même si j'ai toujours tout fait pour ne m'attacher à aucun d'eux. Je crains toujours de m'énerver un jour, pas juste crier comme il m'arrive de le faire quand je donne des ordres, mais vraiment être pris de colère. Je n'ai jamais été en colère, je prend souvent à la légère les menaces et les moqueries. Il faut dire aussi que je passe beaucoup de temps moi-même à me moquer et taquiner les autres. La colère va si bien à certain, mais pas de ces colères meurtrières, des colères passagères qui donnent à leur trait une certaine beauté... Mais cette beauté serait-elle mienne si j'étais pris d'une vraie colère ? J'ai peu de la partie de moi qui pourrais être prise de rage, d'une véritable colère...
Pourtant, je continue à vivre en prenant des risques. Je n'aime pas l'inactivité, il faut que je vive en bougeant vraiment. Je ne me gêne d'ailleurs pas parfois pour profiter des autres, mais pas juste profiter de leurs dons - enfin cela dépend de qui - mais également parfois de leurs corps. Je n'ai jamais ressenti plus agréable chaleur que celle du corps d'un autre. J'espère toujours un peu ressentir de la vraie affection dans de telles conditions, mais la plupart du temps c'est moi qui en profite, ou l'autre qui fait semblant... Pourtant c'est souvent après ceci que je me rends compte de la sincérité de certains : Raymond qui revient toujours me voir malgré mon comportement des plus indécents envers lui, Élindasia qui malgré tout ce qu'elle sait de moi vient toujours partager ses découvertes avec moi, Steven qui est au courant de tous ces malheureux secrets de ses apprentis que j'ai étrangement toujours favorisés - est-ce que c'est ma faute si j'aime bien les jeunes gens qui même s'ils sont frêles travaillent beaucoup et donne plus que ce que leur petit corps devrait le permettre ? - mais qui envers et contre tout a toujours été très respectueux et chaleureux avec moi, toujours aussi fidèle, également la si amusante Akira qui même si elle n'a de cesse de crier sur Raymond et moi depuis ce qu'il s'est passé dans mon bureau reste tout de même sincère et de bon conseil, Sharona qui m'apporte toujours un peu de chaleur les jours froid et sa sœur Marianne qui apporte toujours un peu de fraicheur les jours de grosse chaleur malgré le fait que j'ai profité un peu des deux et qu'elles soient tout à fait au courant, ou même Adriana qui malgré la distance qu'elle a prit se laisse parfois aller à de l'affection à mon égard... Pas celle que j’attends en général, mais cela reste une amitié appréciable.
Je ne veux pas me laisser aveugler par des amours stupides, les désirs des autres m'importent peu, aussi il est possible que j'ai laissé passer plus d'une occasion. Comprenez pourtant que je reste très attentif à l'attention des autres à mon égard. J'aime à connaître leurs sentiments et n'hésite parfois pas à leur demander de vive voix, que je les connaisse bien ou pas. Allons, quelle honte y aurait-il à être curieux ? Je peux être parfaitement sans-gêne, après tout ce n'est pas cela qui fera empirer ma réputations qui est déjà plutôt particulière. Je n'hésite jamais à poser des questions, à faire des avances, à donner des conseils particuliers... Les mots ne sont qu'un moyen de communiquer, alors malgré le fait que je parle avec beaucoup de politesse et de distinction, je n'ai aucunement peur d'utiliser pour me faire comprendre des mots plus particuliers et disgracieux. Cela peut parfois sonner très faux de ma part, mais je ne mens jamais, je suis toujours parfaitement sincère, j'ai juste parfois une manière très détournée de dire les choses ; ce qui ne m'empêchera pas de donner clairement mot pour mot et de manière tout à fait explicite ma manière de considérer telle ou telle personne et mon avis sur elle.
Je m'accepte comme je suis et je ne veux pas changer. Si on me demande faire un effort, je peux en faire en effet, mais cela ne m'empêchera pas de rester toujours aussi attentif à mon travail, aimant des relations libertines - quoi, j'aime profiter des autres - et chaudes, aventureux et parfois assez stupide pour prendre des risques, pourtant je ne fais rien inutilement. Je suis ainsi de ce fait, chacun de mes plans tactiques a été calculé, pour ma vie également : j'ai calculé la haine qu'auraient ma fille et ma femme envers moi, les idées opinions que pourraient se faire les employés de l'agence sur moi par mon comportement qui dépasse sans aucun doute très largement les bornes, bref je suis tout à fait au courant de chaque situation. Mais il m'arrive encore de m'étonner de la réaction de certains, de m'inquiéter de la situation d'autres... Ce n'est pas pour rien que j'ai demandé à Raymond d'enquêter sur mon ancienne famille ; mais comment aurais-je pu prévoir que ce jeune homme si discret en apparence pourrait tant changer au contact d'Élindasia ? Comment aurais-je pu prévoir que même s'il avait gagné en extravagance il deviendrait malgré tout très susceptible au fait que je l'utiliser ? Sa colère m'a vraiment étonné sur le coup, mais cela ne m'a pas fait oublier mon amour des belle chose et notamment de son visage en colère : il était si charmant dans une telle situation, et j'avais bien envie de le voir dans tous ses états.♥
J'ai beau souvent m'attendre à presque tout, je reste humain, je suis toujours une créature curieuse et qui s'étonne de chaque chose de la vie. Pourtant, je ne perds jamais mes moyens. On en tous cas, ça ne m'est jamais arrivé jusqu'à maintenant. Mais qui sait ce qui adviendra plus tard ? On ne peut connaître le futur et on ne peut savoir ce qui arrivera plus tard sans avoir essayé. Je n'aime pas ces idées de prédictions et de claire-voyance, selon moi rien ne peut être prévu avant d'être arrivé, aussi je laisse le temps aller sans m'avancer sur quoi que ce soit. Je peux parfois prévoir quelque chose, pour moi c'est l'évidence même prouvée par ma logique, mais rien ne dit que ce sera forcément ça, et rien ne dit que plus tard tout ce que je viens de vous dire jusqu'à maintenant ne sera pas faux. Après tout, le monde change, et les gens avec. Je n'ai pas beaucoup changé avec le temps personnellement, je me suis juste abandonné à une certaine perversion en laissant ma famille derrière moi, ce qui ne m'empêche pas pourtant de penser que je suis toujours un peu le même : un homme insupportable pour certain et parfait pour d'autres.
Tout ce que je vous dit là n'est que pure vérité, rien n'est inventé ou supposé, j'avoue ce que je suis et me dévoile ouvertement, je pourrais très bien vous en parler moi-même en face à face à l'une de nos rencontres même si je ferais sans doutes attention à ne pas mentionner ma femme, ma fille et Victor Cross, censé être sorti clandestinement d'Angleterre selon les enquêtes. C'est si facile de changer des suppositions, mais pourtant si difficile de contredire la vérité même. Qu'arrivera-t-il si je suis découvert ? Je le crains, comme ma colère, mais malgré tout je ne peux rien y faire. Il est probable que cela n'arrivera jamais, ou que cela arrive très tôt, mais dans tous les cas je n'y pourrais rien. Alors je laisse le temps filer et les évènements venir vers moi : je serai sans doutes au bout du rouleau une fois mon identité dévoilée, mais je resterai Victom Black. J'ai abandonné Victor depuis longtemps, maintenant je suis quelqu'un d'autre et je le resterai.
Ambitions & SouhaitsJe rêve de tant de chose, il faut avouer que j'ai souvent les ambitions d'un monde idyllique, mais la triste réalité me ramène toujours radicalement sur terre : de toute évidence, tant d'horreur sont déjà omniprésente, la RVJ ne fera jamais de ce monde un monde parfait. Alors j'espère du moins que le monde sera parfait pour les agents, je ne veux qu'ils manquent de rien. S'ils travaillent bien, alors je travaillerais à faire ce qu'ils veulent pour eux. Je ne sais pas ce que je désire... A dire vrai, je veux surtout ne jamais m'énerver. Et je veux trouver cette chaleur des étreintes aussi souvent que possible. Pourtant, je ne veux pas l'amour, je veux rester libre et garder mes ailes dépliées, serait-ce mal de tout simplement aimer le monde ? J'aime la vie et la douceur alors je veux en profiter, je ne veux pas que quelques idées de moralité fassent changer Victom Black. Je veux vivre en perfectionnant la RVJ Agency, ce serait déjà pas mal je pense, rester entouré de tous ces gens si agréables...
Préférences & Relations Quelques précisionsOrientation sexuelle : Bisexuel, du moment que c'est mignon.♥ Mais avec une préférence pour les hommes tout de même... Fufufuh.♥ Loisirs : Ce que j'aime faire pour m'occuper ? Si ce n'est pas mon travail auquel je tiens beaucoup, j'aime bien m'occuper personnellement des petits membres de mon entreprise.♥ La RVJ Agency est tout de même un peu la famille que j'ai créé, mais ils n'en restent pas moins de simples collègues. Du coup, si vous êtes mignon, vous aurez peut-être la chance ou le malheur d'être invité chez moi.♥ Objet fétiche : Mes armes et mes dossiers. C'est simple : je ne peux pas m'en séparer. J'en ai toujours dans ma mallette, sous le matelas de mon lit, dans mon armoire au milieu de mes vêtements... Dans mon frigo également. Eh bien oui, je n'ai pas besoin de mettre des réserves, je suis un adepte de la nourriture chinoise du restaurant d'en face. Avec la folle qu'il y a là-bas, personne de risque de mettre du poison dans mon repas de toutes manières... Par contre, hors de question de prendre toute la place dans mon frigo : il me faut ma bouteille d'alcool quotidienne !♥ Autre : Me tape pas Aki-chaaan !♥ ^o^ *sort* Situation RelationnelleJ'avoue, le nom de Victom est devenu très célèbre par ma faute. En effet, je me refuse à décliner ma réelle identité : qui sait ce que vous pourriez trouver sur mon passé ? J'ai supprimé toute trace de rapport entre Victor Cross et Victom Black. De fait, depuis que je suis à la tête de la RVJ Agency, je suis crains de mes ennemis. Mais ceux qui me connaissent vraiment ont laissé trainé une réputation de chef d'agence fou. Après, chacun imagine ma manière d'être fou : les plus craintifs auront tendance à croire que je suis un assassin, mais je suis une personne tout à fait respectable.♥ Enfin, cela dépend au regard de qui.
Mes collègues de travail me respectent généralement. J'entretiens des relations très correctes et platoniques avec mes généraux, je veux que leur travail reste impeccable. Je ne me gêne par ailleurs pas pour un peu jouer avec les autres : mon très cher Raymond en a d'ailleurs fait l'expérience le jour où il s'est rendu compte que je le faisais enquêter sur la femme et la fille de Victor Cross, mon ancien moi. Il faut bien que je prenne quelques nouvelles de temps en temps, en toute discrétion évidemment. Mais ma fille me déteste vraiment, quant à ma femme elle ferait tout pour me mettre des bâtons dans les roues. Vous leur diriez dans de telles conditions que vous êtes le dirigeant d'une grande entreprise ? Pour voir mon identité dévoilée dans les journaux, non merci.
De toute évidence les avis de chacun sur ma personne sont très partagés, du coup je ne peux pas vraiment dire que je suis plus ou moins apprécié, mais je pense au moins être un dirigeant d'agence respectable et qui sait faire la part des choses. Peu m'importent les cas extérieurs à l'entreprise : je ne veux prendre aucun risque si ce n'est pas dans le cadre d'une mission.
Biographie PasséMon passé vous intéresserait-il tant que cela ? Soit, je vais vous le divulguer, mais uniquement car ceci est un dossier fantôme : personne, non jamais personne ne doit savoir ce qui est dit ici. L'histoire de Victor Cross doit s'achever en quelques mots : a fait de brillantes études, est devenu détective, a fondé sa famille et s'est enfuit clandestinement on ne sait où.
En effet, je ne me suis pas toujours appelé Victom Black. Ceci n'est qu'un pseudonyme. Je suis né sous le nom de Victor Weiss et ai vécu avec ce nom durant quatre ans je crois bien. Mon père était un homme difficile, je crois que je tiens bien trop de lui. Mais contrairement à moi qui attache trop d'importance au travail, lui attachait de l'importance aux détails, si bien que ma mère ne put le supporter plus longtemps. Elle divorça et arracha ma garde à mon père qu'elle définissait d'irresponsable. Ce n'est pas tout à fait faux. J'ai passé donc quatre ans sans père. On ne peut pas dire que cela m'a vraiment traumatisé, beaucoup de mes proches avaient des parents divorcés. C'est tout à fait normal pour l'Homme de trouver des sujets de disputes stupides. C'est dans notre nature. Mais à cette époque je ne comprenais juste pas : pourquoi lui aussi ? Pourquoi cet idiot de père nous abandonnait comme l'avaient fait d'autres parents ? Je ne savais pas vraiment à cette époque que c'était ma mère qui l'avait en somme jeté loin de nous, il faut avouer que je considérais ma mère comme la femme parfaite. Je suis tout à fait conscient aujourd'hui que les femmes de ce genre sont de simples démons, des oeuvre du diable.
Alors que j'avais huit ans et que je coulais des jours normaux auprès de mes camarades de classe à l'école élémentaire, ma mère rencontra un homme bourré de charme, très charismatique : Lewis Cross, mon beau-père aujourd'hui. Elle ne tarda pas vraiment à le fréquenter plus sérieusement, et finalement au bout d'un an à peine ils furent mariés. Si j'ai été choqué ? Non, ma mère était pour moi parfaite, alors selon moi elle faisait de justes choix. De plus, Lewis avait tout pour plaire, rien qui puisse retourner un enfant tel que moi contre lui. Notre famille prit donc le nom de Cross et Lewis devint officiellement mon beau-père. Je ne l'ai jamais appelé papa, c'est évident : peu d'enfant appellent leur père adoptif papa dès le début, et les enfants comme moi ne le font jamais.
Ainsi donc à la fin de l'école élémentaire je redevenais selon moi un enfant normal avec deux parents. Victor Cross est né à cette époque de fait. J'étais un enfant idéaliste et innocent, très attiré par les études et je fournissais un très bon travail. Cela ne changea pas avec le temps et au contraire devint même plus important : lorsque ma mère commença à sortir de temps à autres avec Lewis en me laissant seul - de fait, j'étais assez grand selon elle pour m'occuper de moi tout seul - je rabattait ma solitude sur le travail. C'est sans doutes ceci qui a réveillé ce côté que mon père m'a en quelques sortes légué, et c'est ainsi que je commençais à travailler très sérieusement. Ma mère et Lewis étaient fiers de moi, mais peu importait tant que moi j'étais fier de moi. Seuls mes propres éloges comptaient : de toutes manières je trouvais maman et Lewis trop instables, c'est sans doutes ce que pensait notre père de nous quand il prenait la mouche.
En parlant de mon père, il ne tarda pas à reparaître. En réalité, à l'approche de la fin du collège, il passa plusieurs coup de fil à ma mère pour prendre de mes nouvelles. Mais le juge avait été clair suite au cinéma de ma mère, une véritable comédie que je n'apprendrais que plus tard : un homme aussi distrait et colérique que mon père ne pouvait pas m'approcher. Certes mon père s'énervait facilement, mais cela ne volait pas plus haut que l’élévation de la voix. C'était un homme très respectable et inquiet, un peu comme moi aujourd'hui. Il ne voulu pas en savoir plus de l'avis de ma mère, le jour de mes derniers examens il vint de lui-même.
Je ne vous décris pas ce mélange de surprise et de joie que j'ai ressenti en sortant de la salle des examens, cette joie chacun l'a ressentit au moins une fois en se rendant compte que malgré notre désespoir nos parents étaient venus nous voir à un spectacle ou une représentation, une joie qui venait quand un ami qui, on le pensait, n'allait pas venir venait malgré tout. Mon père, mon véritable père était venu me réceptionner à la sortie pour prendre des nouvelles. Évidemment que tout s'était merveilleusement bien passé, et ce fut confirmé quelques temps plus tard par les notes qui nous furent communiquées. Mais mon père n'eut pas le plaisir de les connaître : après cette courte rencontre et courte sortie qui suivit les examens, il fit en sorte de se faire oublier pour que tout ceci ne lui retombe pas dessus. Enfin, j'ai tout de même été heureux de voir qu'il ne m'avait pas oublié, que ma mère avait tord.
C'est d'ailleurs à mon entrée au lycée que j'ai découvert que ma mère n'était qu'un démon, l'imperfection incarnée dans tous ses états : une femme à mensonges et à jalousie. Les jeunes filles que j'ai rencontré en me libérant un peu mes études étaient charmantes tout simplement ! Les jeunes hommes qui n'avaient pas encore changé étaient, quant à eux, tout simplement adorables. J'ai vite compris que la bisexualité n'était pas acceptés par tous, comme l'homosexualité. J'ai fais en sorte de faire profil bas, passant pour le beau ténébreux - je tenais ça de mon père et l'attention que j'apportais à mon corps m'était venu suite à l'arrivée de Lewis que je voulais surpasser en beauté, un défi pour moi-même en somme - qui apportait plus d'attention à ses études qu'aux autres. J'étais un tête de classe par ailleurs, aussi il arrivait qu'un professeur me confie un élève en difficulté. J'ai toujours eu une certaine attirance pour les rebelles ou les maladroits en difficulté, aussi il m'est arrivé plus d'une fois de sortir avec mes "apprentis". Parfois je ne leur demandais pas leur choix, heureusement que la plupart étaient des menteurs, du coup ma réputation restait celle de la mystérieuse tête de classe.
Je n'ai jamais eu de couple fixe, vous l'aurez compris. Je ne restais jamais bien longtemps avec quelqu'un, je changeais plutôt rapidement de cible et il n'était pas rare que cela tourne mal. Mais je savais plutôt bien me défendre, et pour cause : avec mon arrivée au lycée Lewis fit en sorte d'être plus convainquant en tant que père. Il s'occupait de moi, faisait des sorties avec moi, en arrangeait pour moi et mes amis, et m'avait même inscrit à quelques cours sportifs pour qu'on puisse s'entraîner ensemble aux arts martiaux comme le Tae Kwon Do ou aux sport plus occidentaux comme le soccer ou la natation tout simplement. Mon corps se renforça et s'embellit, de telle sorte que mes conquêtes se multipliaient et que mes innocentes victimes se retrouvaient forcés à assouvir mes envies et ne pouvaient se venger si facilement.
J'ai toujours été très prudent et n'ai pas vraiment montré la moindre innocence lorsque j'étais au lycée. Autant j'étais plutôt naïf au collège, autant le lycée a fait de moi une bête assoiffée de sexe et d'affection. Mais cela n'a pas atténué mon côté idéaliste. Je m'emportais souvent à rêver un peu trop. C'était d'ailleurs parfois un sujet de moqueries et de brimades, mais dans l'ensemble je pense que mes idées ont été plutôt bien accueillie par les professeurs de littérature, notamment le professeur de philosophie. Mais je souhaitais être plus concret, que cela se réalise un jour. C'est pour cela que je choisis à ma sortie du lycée de prendre des études de droit.
Évidemment, ce n'était pas toujours facile, surtout que certains des étudiants en droit sont carrément coincés. Mais il reste quelques bons fêtards pour s'amuser et tous sont assez travailleurs pour se sentir dans une bonne ambiance. Je regrette un peu ces années de faculté, c'était plutôt engageant et agréable. J'ai passé de bonnes années auprès de personnes agréables, et j'ai appris plus de choses que je ne l'imaginais. Je m'intéressais à un peu tous les sujets et aimais les étudier plus sérieusement. Je parvins finalement à achever mes études sur un point d'honneur.
Mais ce que l'on découvre parfois et plutôt terrifiant aux premiers abords. Avant de devenir chef de cette grande entreprise qu'est la RVJ Agency, j'ai tout de même été Victor Cross, un jeune homme tout à fait normal et très idéaliste qui présentait une certaine sensibilité derrière son côté assoiffé d'affection et de sexe. J'ai été plusieurs fois choqué, et ai plusieurs fois changé d'idées. A bas la brutalité du monde policier et au revoir la difficulté du monde des profilers. Non merci au monde de l'autopsie, mon estomac est trop fragile, et fuyons au plus vite le monde si étrange des avocats et des juges. J'ai finalement laissé mon choix retomber sur quelque chose qui me convenait mieux : après à peine deux ans en tant qu'enquêteur de police je devint détective privé.
J'étais plutôt discret et secret et je savais me montrer très correct. J'ai commencé donc à environ vingt-quatre ans dans une entreprise de détectives privés de laquelle j'ai tiré beaucoup de nouvelles connaissances avant d'enfin devenir indépendant à partir de vingt-cinq ans. C'est là que j'ai rencontré ma femme, Ruth Chase. C'était une jeune femme tout simplement adorable, d'une douceur incroyable. Je l'ai rencontrée la première fois dans la rue, je l'ai bousculée sans le vouloir en suivant quelqu'un. Nous nous sommes revus par la suite dans un hôpital ; ce n'est pas bien joyeux comme retrouvailles.
Suite à une enquête j'avais fini par me blesser. Oh, rien de bien grave, j'avais mal choisi mon endroit pour me percher et prendre mes photos et je suis mal tombé. Résultat, j'ai trouvé le moyen de me tordre un poignet et de me déboîter l'épaule. Par chance, la luxation a été habilement guérie et une éventuelle cicatrisation, pourtant rare dans la plupart des cas, a dut empêcher des récidives ; évidemment, j'espère fortement que ces récidives ne viendront pas plus tard, mais le médecin a été plutôt sceptique. Nous verrons bien, tout peut arriver, mais aujourd'hui encore je ménage mon épaule droite au cas où cela pourrait survenir. C'est en tout cas dans cet état que m'a revu Ruth. Elle rendait visite à son père qui se trouvait dans la même chambre que moi à ce moment. Un homme charmant, un peu ronchon mais pourtant rieur et très agréable. Je pense malgré tout qu'il m'en veut fortement aujourd'hui, mieux vaut ne pas y penser.
C'est donc suite à cette visite pour son père qui avait eut un accident de travail que je revis Ruth. Nous avons passé pas mal de temps à discuter avec son père, et finalement elle revint le lendemain pour discuter encore. Lorsque je sortis, mon épaule et mon poignet tout à fait reposés, elle était encore là. Nous avons échangé nos coordonnées en simples amis. Un mois plus tard, je commençais à sortir avec elle, puis avait un enfant dans l'année qui suivit, et donc un an après notre rencontre nous nous marions. Notre jeune fille, elle voulait l'appeler Marie et moi Ange. Résultat : une charmante Marie-Ange qui avait un an et qui tenait bien sa beauté de ses deux magnifiques parents. À vingt-cinq et vingt-six ans je vivais donc une vie heureuse avec ma jolie famille en tant que Victor Cross.
Un an plus tard, tout commença à changer. J'aimais, sans conteste, cette douce vie de famille et le réconfort d'une véritable affection, la seule que j'aurais connue avec celle de mes deux pères, Lewis et papa. Mais justement, je tenais bien trop de ce dernier, et mon travail passait toujours avant tout. Plus ça allait, et plus mes enquêtes étaient étranges. Finalement, les horreurs que j'avais découvert durant mes études et mon travail pour la Police revenaient de plus belle, mais mon esprit ne les chassait pas cette fois-ci. Mes idées de monde idyllique ont prit le dessus à cette époque, et plus je trouvais de nouvelles choses, plus je poursuivais.
Cela finit par arriver : j'oubliais peu à peu ma famille à mesure que la Victoria's Agency, une agence de détectives privés que j'avais ouverte, se créait. Et peu à peu, la VA grandissait, et je m'éloignais de plus en plus de ma famille. Malgré le fait que ma fille était jeune, elle était mature et compréhensive : elle comprit bien vite avec ma femme que je ne ferais que leur apporter plus de malheur, et elles commencèrent à me détester. Cela faisait depuis trois ans que la Victoria's Agency prospérait, il était temps de me décider. Allais-je abandonner la VA qui gagnait en importance de jours en jours ou allais-je abandonner ma famille ?
Je suis un être exécrable, car tel fut mon choix : détruire Victor Cross pour faire naître la Red Victom Justice Agency, un groupe secret. Vous me direz sans doutes que je ne suis pas modeste de prendre mon pseudonyme pour nom de l'agence. Cela va de soi, moi le nom de cette agence réside surtout sur les deux autres mots : Red, "rouge", qui définit selon mon idée l'état de notre société. L'Homme a mené tout son monde dans le rouge, c'est un état d'alerte. Justice, eh bien, uniquement du fait que j'étais encore un peu trop jeune peut-être dans mon esprit.
À vingt-neuf ans donc, Victor Cross disparu, et on ne retrouva que quelques uns de ses vêtements, des papiers et des restes abandonnés dans la cale d'un bateau. Classique comme coup, les enquêteurs n'y ont vu que du feu, mais il faut dire que j'avais eu quelques amis pour m'aider à faire passer tout cela pour des traces de mon passage. Finalement, Victor fut définitivement supprimé, et naquit de ses cendres une idée, un désir qui obnubilait mes pensées et prit forme en moi. Je n'ai pas changé, mais cette idée a juste décidé de se dévoiler au travers de mon être. C'est ce que je veux faire croire quand je me présente sous le nom de Victom Black, mais je reste un monstre au fond.
L'agence grandit plus que je ne le pensais. Il fallut à peine trois ans pour qu'elle atteigne la même importance qu'aujourd'hui. Pendant un an, la RVJ Agency s'épanouit, même si mes idées avaient changé. En effet, mon esprit jeune et idéaliste finit par disparaître. Je m'étais rendu à l'évidence même que la nature humaine ne pourrait pas plus changer, mais je pouvais lui donner un coup de pouce pour s'améliorer petit à petit. Je n'allais pas abandonner mes collaborateurs de si tôt. L'agence poursuivit donc et atteint une période de prospérité durant une année je crois bien. Mais...
Mais mes collaborateurs ne savaient rien d'eux. J'en avais entendu parler par hasard aux informations étrangères en allant chez un ami pour tester son fils que je voulais à mes côté pour ses capacités en informatique. En effet, mon ami a tendance à s'intéresser aux informations étrangères. Sa capacité à comprendre toute ses langues m'étonnera agréablement plus d'une fois. Mais ce jour-là, j'étais terrifié. Il me traduisit ce qui advenait : ils venaient de naître, d'être découverts. Ils étaient arrivés comme ça, discrètement, et du jour au lendemain le chaos s'abattait sur Berlin. Mes proches n'en savaient rien, seul Arthur Vincent et moi-même savions ce qui arrivait : c'étaient les Blaue Hunde.
Je rentrais très rapidement de ce court voyage en Amérique, ramenant avec moi mon nouveau protégé, Raymond Vincent. Je le laissais aux mains de Steven, un de mes plus anciens collaborateurs, qui se chargea de lui faire apprendre tout ce qu'il devait savoir. nous devions tous les préparer au cas où. Je ne savais, évidemment, pas du tout que les Blaue Hunde viendraient jusqu'à Londres. Je craignais un peu trop une confrontation internationale. Mais notre bataille fut limitée. À vrai dire, du jour au lendemain nous n'entendions plus parler d'eux. Un silence certain paru.
Un an plus tard, de nouveaux crimes survenaient à Londres. Des crimes horribles. Aucun rapport avec les crimes des Blaue Hunde, les autorités et les journalistes craignaient une nouvelle grande agence criminelle. Mais je ne suis pas dupe, loin de là... Faisant appel à Frederic Powell, un de mes espions les plus doués, et demandant l'aide de la Rose d'Argent que j'avais découvert au cour de la création de la RVJ Agency, je finis par découvrir la base de ces criminels. Inutile de s'attarder à envoyer des messages, je ne voulais pas que mes collaborateurs prennent des risques : j'allais moi-même rendre visite au salaud qui osait troubler la belle ville de Londres non-loin de mon entreprise.
Ou plutôt, la lady qui avait le courage de me tenir tête. Cette femme si terrifiante, je la rencontrais sous le nom de Frau Blau, la dame bleue. Mes collaborateurs se sont tous accordés à dire que cette femme était mon parfait reflet dans un miroir, ses idées étaient opposées au mienne même si les moyens employés pour obtenir ce que l'on souhaitait étaient les mêmes. Elle n'hésita pas à envoyer sa garde contre moi pour tenter de me tuer alors que j'étais sur son territoire après avoir discuté avec elle. Elle n'attendais pas pour attaquer. Je n'aurais pas eu de difficulté à m'enfuir, mais Frederic Powell et Sharona Grant me facilitèrent la tache. Grâce à mes deux meilleurs espions je parvins à partir sans les moindres lacunes. Je crains pourtant qu'elle n'ai montré qu'un dixième de sa puissance ce jour-là.
Depuis, Frau Blau devint ma rivale, comme une rivale de toujours même. J'avoue avoir été très à cran et inquiet durant les premiers mois, mais finalement j'ai vite retrouvé des couleurs. J'ai recommencé à profiter de ma place de patron, et plutôt deux fois qu'une quand j'avais du temps libre : les nouveaux-venus étaient adorables, comme les charmantes jumelles Sharona et Marianne Grant ou le si adorable et maladroit Misaki Ohara. J'avoue même m'être laisser aller sur Raymond quand celui-ci a remarqué la supercherie : malgré le fait que j'étais tout à fait pris par mon travail, Victor Cross continuait à s'inquiéter pour Ruth et Marie-Ange. Finalement, j'ai voulu apaiser mon esprit en faisant enquêter Raymond sur elles, et celui-ci est venu lui-même me faire part de ses pensées à ce sujet. J'ai craqué devant son visage en colère, il était si mignon.♥
Oh, je ne suis pas allé bien loin, il est encore bien jeune par rapport et moi et je le sens trop fragile entre mes mains par rapport à d'autre. Et puis je ne voudrais pas faire du tort à Arthur, attaquer son fils alors qu'il me l'a confié, non je n'oserai pas... Si ? Il est fort probable que cela m'échappe un jour, mais tout sera la faute de ce pervers de Victor Cross !♥ J'ai abandonné cet autre moi, je peux bien l'accuser de temps en temps. Non, plus sérieusement, cela ne m'étonnerai pas que ça m'échappe de pousser un peu trop loin le bouchon, cela m'est déjà arrivé avec Sophia, Alex, Lambert, Adam, Rosalin, Maxwell, Tristan et Tristana, Sharona et Marianne... J'en passe, et des meilleurs ! Je ne compte plus mes conquêtes, et je pense bien que je vais continuer ainsi pendant longtemps. J'aime trop cette chaleur, cette douceur, ce touché... D'ailleurs, j'en ai plus d'un qui me sont tombés dessus, comme Steven, Élindasia et Akira quand je me suis attaqué à Raymond, même si les deux premiers ont fini par tout me pardonner, que la seconde d'ailleurs apprécie beaucoup mes taquineries envers le jeune homme et que la troisième y prête parfois une oreille trop attentive.
Malgré tout, la guerre se poursuit, et je redoute encore ce jour de l'incident. En effet, il arriva un moment où Frau Blau décida de lancer une offensive totale. Tout son gang se déplaça jusqu'à la RVJ Agency. Ce fut un carnage, plus d'un moururent et furent blessés, même si tout cela était bien pire à déplorer du mon côté que de celui de ma rivale. Mais hors de question de me faire attraper comme ça : j'avais déjà prévu plus d'un tour pour ce genre de situation. J'ai été sauvé par hélicoptère - eh oui, ça sauve toujours, surtout des embouteillages !♥ - et mes agents parvinrent à s'échapper, libérant par la même occasion ceux qui allaient être faits prisonniers. Il y eut évidemment plus de blessés, et quelques prisonniers que nous avons eu du mal à libérer dont un qui fut tué, mais finalement nous avons repris du poil de la bête.
Aujourd'hui cela fait depuis un an je crois bien que la guerre a été repoussée. J'ai bien trente-cinq ans aujourd'hui, et je tiens toujours la RVJ Agency, toujours aussi grande et forte qu'auparavant, toujours bien droite contre les Blaue Hunde qui n'ont, eux, toujours par perdu de leur splendeur. Tout se poursuit, mais ce dossier s'achève ici : je le détruirais bientôt, et personne ne saura rien de tout cela. Oui Victor, tu es le seul à être au courant, et tu le resteras. Car le monstre qui est en moi n'a pas finit de s'épanouir, il grandit encore et encore.
La RVJ Agency est un monstre, un monstre qui veut devenir le monde, un monstre qui doit vaincre la grande faucheuse qu'est Frau Blau. Dernière mission achevée en ce jour : destruction du dossier fantôme Victor Cross.
Derrière l'écran Surnom : Victom ou Vi' ! =D Fréquence de connexion : Presque tous les jours sauf quand je flemme. =w= Ou quand je dois travailler pour le Tae Kwon Do. Découverte du forum : I'm your master. *w* J'ai créé ce forum, à votre avis comment je l'ai découvert ? xD J'ai rêvé d'une agence d'espions et c'est sortit tout seul ! *_* *sort* Niveau de jeux de rôle : Parfait, qu'est-ce que vous croyez ? *pas modeste du tout* Du moment que vous vous débrouillez bien je m'en sors pas mal. ^^ Autre : Spéciale dédicace à mon Éli-chérie ! ;D ♥
Dernière édition par Victom Black le Jeu 11 Aoû - 15:20, édité 1 fois | |
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